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Dévoilé par le laboratoire d’intelligence artificielle (IA) californien OpenAI, qui est aussi derrière , le robot conversationnel ChatGPT est accessible au public depuis le 30 novembre dernier. L’outil répond aux demandes de ses utilisateurs en plusieurs langues, dont le français et l’anglais. Au-delà de simplement répondre à des questions, il peut entretenir une conversation, revenir sur des points abordés précédemment et même admettre son erreur.(Ìý

Voici un expert de l’Université Â鶹AV qui peut s’exprimer à ce sujet:ÌýÌý

Andrew Piper, professeur titulaire, Département des langues, des littératures et des culturesÌý

« Trouvons comment intégrer cette technologie dans notre enseignement et dans l'apprentissage des étudiants plutôt que de la fuir ou de l'interdire de manière impulsive. Mon approche a été d'avoir des conversations franches avec les étudiants en utilisant des démonstrations sur ce que cette technologie peut et ne peut pas faire. »Ìý

Andrew Piper est professeur titulaire et boursier William Dawson au Département des langues, des littératures et des cultures. Ses recherches portent sur l'utilisation de l'IA pour étudier les récits humains. Ìý

andrew.piper [at] mcgill.ca (anglais)Ìý